ILTM et le CARLTON: Un luxe binominal
L’un créé les contacts et l’autre accueille. Sous cet harmonieux ensemble on découvre une enveloppe de rouages nouveaux et aussi exceptionnel dans leur conception.
ILTM et le CARLTON prennent toute leur ampleur lorsqu’il reflète leur plaisir partagé dans la baie de Cannes.
Pendant que le Carlton, symbole de la Côte d’Azur, trône sur la Croisette avec ses deux coupoles en pointe inspirées des seins de la Belle Otero, son image se promène dans le monde entier et, ILTM fait en sorte que le monde entier pose ses bagages dans des lieux de luxe comme celui-ci.
Erigé par Charles Dalmas, au début du XXè siècle, il est l’un des symboles les plus éclatants de la mythique Croisette . Cette année le Carlton fête ses 100 ans et je vous propose de faire le geste générant une énergie et une émotion propre en cliquant sur le savoir faire de son Directeur Général.
Les CENT ANS du CARLTON « Un événement qui fera date »
Le Carlton, fruit d’un amour raconté, méritait le plus beau des écrins et, qui d’autre que François CHOPINET (Directeur Général du CARLTON) pouvait mieux nous parler de ce Palace 5 étoiles, de sa naissance jusqu’à ce jour, de ses 338 Chambres, ses 39 Suites, de son Bar & Carlton Terrace, du Petit Bar, du Carlton Beach Restaurant, du restaurant Carlton, des 5 salles de réunion jusqu’à 1400 personnes et du Health & Fitness Centre….De l’ accueil, des services…. .
J’ai souhaité laisser parler mon cœur pour rendre hommage aux différents propriétaires ( audio et photos), aux Créateurs et, à François Chopinet, Directeur Général du Carlton. Ils ont eu la lourde tâche de nous faire parler le Carlton,
l’ établissement le plus mythique de la Croisette qui incarne depuis 1913 la magie de Cannes, du glamour et du raffinement, et ainsi de se révéler à nous.
Cent ans, çà se fête…Majestueusement ! Un double jubilé qui se joue des souvenirs et se projette dans l’avenir.
100 ans de « Voyage Historique » auquel nous convie le Directeur Général du CARLTON : François Chopinet
Avec François CHOPINET, c’est une rencontre avec l’histoire, allant jusqu’à l’usure des mots qu’émerveillent nos sens.
C’est le récit d’un travail remarquable par le goût d’une mise en scène à la hauteur des lieux.
François CHOPINET offre son âme au récit sans jamais se perdre dans l’imaginaire. Un compromis d’art, de poésie d’amour que Mr Chopinet nous invite à vivre ou à revivre tout au long de ce voyage d’un siècle.
Sous ses regards qui interpellent , son énergie franche, épanouie, radieuse, François CHOPINET nous présente l’histoire romantique de l’Hôtel Carlton, né du fruit d’un amour défendu …A l’époque !.
Ecouter François CHOPINET…
Cliquez sur les liens ci-dessous
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« Nous sommes en 1885 à Saint-Pétersbourg en Russie avec le Grand Duc Michel Mikhaïlovitch oncle du Tsar, le Roi de Russie….. il est tombé amoureux de l’écrivain Pouchkine….le Duc est allé voir le tsar et il lui a dit Votre Altesse : »Je suis amoureux, je veux me marier »… Le tsar lui donne deux options: Vous devez avoir une relation très discrète et vous resterez en Russie pour continuer votre vie à Saint-Pétersbourg et vous continuerez à obtenir votre revenu en tant que Grand Duc…..Vous allez vous marier et les trente jours prochains après votre mariage, vous partirez en exil pour le reste de votre vie « …Quelle option le Grand Duc a décidé ? … » Il a choisi la deuxième option, il s’est marié et dans les trente jours suivants, il a quitté la Russie pour toujours…pour Cannes ».
Vous êtes à Cannes en 1886, il découvre un village de pécheurs qui a été lancé par les Britanniques en 1834″…. » A cette époque le monde était très influencé par les nouveaux sports inventés par les Britanniques, je parle du golf, du tennis, de la voile …Suite en audio
De se rendre compte que lorsque vous attirez les gens pour jouer au Golf, au Tennis etc… où les faites-vous coucher ?…de poursuivre: » Il a été décidé de financer et construire l’Hôtel CARLTON, le premier hôtel de Cannes en 1913″… « La première partie de l’hôtel était la moitié de ce que vous voyez ici maintenant , et cette partie a été ouverte en 1911.
Suite au succès de l’hôtel, il a été décidé de construire une extension de l’hôtel en 1912 et l’hôtel fut ouvert en 1913 parce que le Grand Duc Michel souhaitait célébrer les fêtes de Noël dans le Nouveau CARLTON.(audio/photos)
Pour ses cent ans l’interContinental Carlton lance un parfum signé MOLINARD
Il est des lieux dont on garde un souvenir olfactif. Indéfinissable parfois, mais reconnaissable pourtant. L’InterContinental Carlton est de ces lieux. Et pour fêter son centenaire, il lance son parfum d’ambiance, un jus signé Molinard.
A l’heure de célébrer un siècle d’existence, l’édifice cannois a demandé à une Maison plus que centenaire de créer « son » parfum d’ambiance. Cette Maison, c’est Molinard, parfumerie fondée à Grasse en 1849 et aujourd’hui encore entreprise entièrement familiale. Son succès ne date pas d’hier. En 1891 déjà, la Reine Victoria y achète des Eaux de Cologne. Des noms célèbres vont jalonner la vie de Molinard : René Lalique, Viard, le dessinateur de flacons, Baccarat…Le mythique hôtel cannois et la non moins mythique Maison Molinard inscrivent en 2012 une page commune sur le grand livre de leurs aventures.
Il s’appelle « Carlton Home Perfume by Molinard », et il sera offert par l’établissement à ses clients prestigieux. Sa naissance est encore auréolée de mystère; on sait que le citron entre largement dans sa composition et qu’il joue sur la légèreté de ses notes pour séduire.
Pourquoi le citron ? En référence au Grand Duc Michel qui appréciait tout particulièrement de déguster un thé au citron au Carlton. Et puis le citron n’est-il pas une référence de la Riviera Française ? Délicatement diffusé dans les parties communes de l’établissement, il marquera l’identité olfactive du lieu. Dorénavant, c’est ce fruit gorgé de soleil qui rappellera à tous ceux qui ont un jour franchi le seuil de l’hôtel InterContinental Carlton, un moment d’exception olfactif sur la Croisette.
Le lobby va vivre 52 semaines sous le signe des fleurs.
Sabine Flowers a imaginé des compositions reprenant l’historique de l’hôtel, de la Belle Epoque en 1910 jusqu’à aujourd’hui. Un joli challenge !
Lait pailleté et huile sèche pour le corps, deux versions aux senteurs d’Habanita sont déclinées pour des idées cadeau raffinées. Cette déclinaison D’Habanita redonne souplesse à la peau tout en laissant l’effluve de ce parfum mythique. Avide de glamour, le lait pour le corps Habanita se couvre de paillettes, dans son flacon blanc irisé. Molinard a aussi préparé pour les plus fidèles d’Habanita l’huile sèche pour le corps dans son célèbre flacon sculpté et satiné.
CENT ANS D’HISTOIRE, CENT ANS D’ÉLÉGANCE…
Si l’établissement le plus mythique de la Croisette incarne depuis 1913 la magie de Cannes, il a bien d’autres palmes à son palmarès ! Celle du glamour et du raffinement, qu’il cultive avec éclat depuis un siècle, sans avoir pris une ride.
Incarnant un esprit Belle Epoque résolument imprégné de faste et de tradition. Jugez-en plutôt par son histoire fastueuse, détaillée à travers les six dates clefs qui ont marqué l’histoire de ce lieu d’exception. Après son inauguration à l’aube de la première guerre mondiale, il devient très vite le rendez-vous des grands de ce monde, notables, stars de cinéma, hommes politiques, ainsi qu’un lieu de tournages plébiscité par les plus grosses « majors » internationales.
Cet anniversaire se traduit par mille et une surprises tout au long de l’année. Et des surprises à la mesure de l’évènement ! Tous les sens en éveil, préparez-vous à vivre douze mois hauts en couleurs, en saveurs, en senteurs, en émotions. D’un parfum d’ambiance à l’édition d’une bande dessinée, en passant par une série de manifestations d’envergure, cet anniversaire va s’inscrire en lettres d’or sur le grand livre des souvenirs de l’InterContinental Carlton.
Enfin, impossible d’évoquer l’InterContinental Carlton sans parler de Cannes, son Festival, ses paillettes. D’ailleurs que serait l’hôtel le plus mythique de la cité du cinéma sans la Croisette, sans son Festival qui chaque année fait crépiter des milliers de flashs ? Cannes, la capitale la plus glamour du 7è art, qui héberge quelques-uns des plus beaux palaces de notre époque, parmi lesquels l’InterContinental Carlton. Embarquement immédiat.
La célébration de ce centenaire sera à la hauteur de son épopée : spectaculaire, digne de son envergure. Une chose est sûre : l’InterContinental Carlton n’a pas fini de vous surprendre.
1911-1913, naissance d’un mythe : le Carlton.
En 1911, Henri RUHL ouvre le plus beau monument de Cannes : le Carlton Hôtel. L’établissement n’a pas encore sa configuration définitive. La seconde aile ne verra, en effet, le jour qu’en 1913.
Ce 30 janvier 1911, Henri RUHL est un homme heureux. Dans peu de temps, il va accueillir ses premiers invités pour inaugurer officiellement sa nouvelle merveille, le plus bel hôtel que Cannes n’ait jamais vu. Il a choisi de l’appeler Carlton Hôtel. Ce nom est originaire de Scandinavie où il signifie la Ville de l’Homme Libre. Ce choix n’a donc rien d’un hasard. Pour l’aristocratie britannique, ce nom se confond avec élégance et rêve. Ce 30 janvier, Ruhl n’est pas seul à rêver devant le Carlton. A ses côtés, ce jour-là comme depuis des années, il y a l’homme clé du projet, celui qui a su si bien changer le rêve du Londonien en réalité :Charles Dalmas. Les deux hommes se connaissent bien, l’Anglais ayant déjà confié à ce natif de Nice la création architecturale de deux établissements dans sa ville natale.
L’histoire du Carlton est également intimement liée à une clientèle russe haut de gamme. Un lien majeur puisque le Grand Duc Michel a apporté son soutien financier à la construction de l’édifice. Il était également un client assidu de l’hôtel Carlton et avait pour habitude de prendre son « Five o’clock Tea » au bar de l’établissement.
Mais la famille impériale n’est pas seule en cette fin du 19è siècle à séjourner à Cannes. De nombreux membres de l’aristocratie russe fréquentent de grands hôtels. Cette colonie russe donnera une considérable impulsion à la vie mondaine cannoise qui dépense beaucoup d’argent tout en développant les activités sportives comme le golf ou les régates.
En bref…Lorsque le Grand Duc Michel séjournait au Carlton, deux valets avaient pour mission de partir traire une vache pour lui rapporter du lait bien frais…!
1922, 1ère conférence de la Société Des Nations au Carlton.
En 1922, le Carlton accueille la Société Des Nations, ancêtre de l’O.N.U, lors de la Conférence de Cannes. Un rendez-vous diplomatique qui se révèlera important dans l’Histoire de l’entre-deux guerres.
Décembre 1921, Londres. Le Premier Ministre britannique, Lloyd George, et son homologue français, Aristide Briand, se rencontrent pour discuter du Traité de Versailles. Les deux hommes s’entendent alors sur un futur rendez-vous: convoquer la Société Des Nations à Cannes. Il faut dire que cette décision est à la croisée des intérêts de chacun. Lloyd George, comme beaucoup de privilégiés britanniques, a fait de la Côte d’Azur un lieu de villégiature et il compte bien y passer quelques jours en hiver. Pour la France, Cannes a le double avantage d’être aisée à sécuriser du fait de sa taille. Mais dans la cité azuréenne, c’est aussi (déjà!) le luxe. Des palaces, de fastueuses villas et des conditions climatiques exceptionnelles offrent un écrin de rêve pour une rencontre au sommet. Et le Carlton en sera le théâtre principal.
La thématique en ce beau mois de janvier 1922 est simple : les Allemands, croulant sous la dette des réparations, demandent un moratoire. Le but avoué de la réunion étant de reconstruire une Europe économique saine, la tâche ne s’annonce pas simple.
C’est ainsi que, du 4 au 13 janvier 1922, la SDN se réunit sur la Croisette. L’histoire nous dit que la conférence fut un échec sur le plan diplomatique. Le 13 janvier, Lloyd George convoque la presse au Carlton, pour signifier l’arrêt des négociations.
La liste des personnalités et chefs d’Etats présents révèle l’importance du rendez-vous : France-Aristide Briand, Président du Conseil de la France Grande Bretagne-Lloyd George, Premier ministre du Royaume-Uni
Allemagne-Walter Rathenau, ministre du Reich aux Affaires Etrangères de l’Allemagne,
Italie-Ivanoe Bonomi, Président du Conseil pour l’Italie
Etats-Unis-Colonel Harvey, ambassadeur américain à Londres
Belgique-Mr Theunis, Premier ministre de Belgique
Japon-Baron Hayashi, diplomate de la délégation japonaise à la SDN.
1946, 1er Festival du Film à Cannes.
Depuis 1946, Cannes devient, le temps d’une quinzaine de jours, la reine mondiale du cinéma. Retour sur le Festival le plus glamour de la planète.
Bien qu’il soit né en 1939, de la volonté du gouvernement français désireux d’organiser un grand rassemblement du cinéma mondial, dans un lieu réputé pour son ensoleillement et son cadre enchanteur, le Festival de Cannes ne prend réellement son essor qu’en 1946.
Le Palais des Festivals construit à la hâte n’étant pas terminé-les bâches, en guise de toit, seront emportées par un orage qui éclatera la veille de la proclamation du palmarès ! c’est dans l’ancien Casino que s’ouvre le 20 Septembre 1946 le Festival International du Film, première grande manifestation culturelle internationale de l’après-guerre. Cette première édition a vu l’éclosion du néo-réalisme avec « Rome ville ouverte » de Roberto Rossellini.
Trônant au cœur de l’effervescence cannoise, le Carlton va devenir l’un des acteurs incontournables de ce Festival, offrant son décor d’exception aux réunions du jury, prêtant, le temps d’un film, son architecture unique aux plus grands réalisateurs de notre époque. En fin quelques années, il est ainsi devenu l’un des hôtels les plus demandés pour les tournages de films… Fait marquant : Lors de la projection du film d’Alfred Hitchcock, « Les Enchaînés », le projectionniste s’emmêle les bobines et inverse le film…Il passe la fin avant le début ! Quant au film de George Sydney, « Les trois Mousquetaires », il est projeté à l’envers…les pieds sont en l’air et les têtes en bas !
1954, Hitchcock tourne au Carlton « La Main au Collet ».
L’une des plus belles régions du monde, son plus célèbre hôtel, deux stars magnifiques…Pour son film, « La Main au collet », Hitchcock s’était assuré un casting parfait ! Récit d’un tournage mythique.
Sorti en 1955, le thriller romantique se déroule entièrement sur la Côte d’Azur. Hitchcock a ainsi promené sa caméra de Saint-Jeannet à Monaco.
Mais, de tous les décors qui ont fait la beauté de ce film, le public a retenu avant tout ceux du Carlton. Il faut dire que le réalisateur britannique associa l’hôtel de la Croisette à des scènes clés de son long-métrage. Il déshabilla ainsi quelque peu ses deux acteurs du côté de la plage de l’hôtel. Il habilla son héroïne d’une robe bustier d’un bleu éclatant pour un dîner dans le Grand Salon. Un moment d’élégance et de glamour intense.
D’ailleurs, même si plus de cinquante ans ont passé, la magie opère encore : régulièrement, des fans de Grace Kelly poussent la porte de l’hôtel et demande à voir la fameuse salle de gala, classée Monument Historique. Pendant quelques secondes, ils retrouvent alors leur idole au sommet de sa beauté.
623, La Suite Alfred Hitchcock n’est ni la plus grande ni la plus luxueuse des suites de l’Intercontinental Carlton, mais, pour les cinéphiles avertis, la suite 623 est assurément la plus mythique de toutes ! Il ne lui aura pourtant fallu que quelques secondes de lumière pour accéder à ce rang de légende.
Le temps d’une scène de cinéma restée fameuse : devant la porte de la suite, un homme et une femme. Face à face intense. Elle est aussi blonde et belle qu’il est brun et séduisant. Elle, c’est Grace Kelly. Lui, Cary Grant. Réunis par Alfred Hitchcock, ils forment le couple de rêve de « Main au Collet ».
1982, InterContinental Carlton.
Le Carlton, l’un des plus beaux joyaux de La Croisette, a été racheté par InterContinental en 1982. Retour sur l’histoire d’un groupe dont chaque hôtel reste unique.
En 1949 InterContinental Hotels Corporation commence son expansion avec un 1er établissement à Belèm au Brésil suivi dans les années 50 de nombreuses entités latines et aux Caraïbes. Dans les années 60, InterContinental s’installe au Moyen-Orient, en Asie et en Afrique. En 1963, quatre hôtels ouvrent leurs portes en Europe. La décennie 1970-1980 sera nord américaine. 1982 est marqué par le rachat de l’emblématique monument de La Croisette, le Carlton, que l’on appellera désormais InterContinental Carlton.
Le groupe occupe des positions stratégiques aux quatre coins de la planète et a gagné son pari : séduire une clientèle d’affaires et de loisirs.
De ce fait, en 2009, le Carlton dévoile un lobby et un 7ème étage entièrement rénovés. Les thèmes principaux, « lumières, transparence, élégance et modernité ». Au 7 è étage, 3 nouvelles suites aux noms prestigieux viennent d’être inaugurées :
Uma Thurman, Cary Grant et Sean Penn. D’une superficie de 150 à 250 m2, toutes ces suites sont décorées élégamment de parquets et mobiliers en bois précieux, de matières nobles, boiseries et moulures.
InterContinental Hotels & Resorts en chiffres
Impressionnant, c’est peu dire pour qualifier le portefeuille du Groupe Intercontinental avec plus de 150 hôtels répartis dans 65 pays.
En 2013, ce ne sont pas moins de 7 nouveaux établissements qui devraient être inaugurés à Marseille, Davos en Suisse, au Koweït, au Sénégal, en Chine et à Hanoï. A l’horizon 2014 se profile l’Arabie Saoudite.
2011, G 20 à Cannes, rendez-vous des puissants
Les 3 et 4 novembre 2011, la Croisette accueillait non pas les stars du 7è art, mais les vingt-cinq chefs d’Etat et de gouvernement des principaux pays du monde, venus assister au G20.
Yes, they Cannes ! C’est en effet la capitale du 7è art qui est choisie pour accueillir le plus grand sommet international jamais tenu en France. Il faut dire que le sommet doit faire face à des enjeux majeurs: trouver une solution à la crise de l’Euro.
Parmi les pays présents à l’évènement, figurent l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Arabie Saoudite, l’Argentine, l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, l’Espagne, les Etats-Unis, la France, l’Inde, l’Indonésie, l’Italie, le Japon, le Mexique, le Royaume-Uni, la Russie et la Turquie. Sont également conviés les chefs d’Etat et de gouvernement des Emirats Arabes Unis, de l’Ethiopie, de la Guinée équatoriale et Singapour.
Habitué à jouer un rôle clef dans l’histoire politique internationale, l’InterContinental Carlton a ainsi eu la chance d’accueillir un invité prestigieux : Barack Obama himself ! Lors de son séjour à l’InterContinental Carlton Cannes, le président des Etats-Unis décida de perpétuer la tradition et choisit de séjourner au 5è étage, comme Mr Harvey en 1922 lors de la conférence de la Société des Nations.
La vue- à l’affiche
Il commence à sortir de terre en 1909, mais il faudra attendre 1913 pour l’apprécier dans toute sa splendeur. Un siècle plus tard, l’InterContinental Carlton n’a pas pris une ride et c’est un centenaire au mieux de sa forme qui va faire la fête douze mois durant.
Il a été construit à la demande d’Henri Ruhl qui a confié le projet à deux architectes, le niçois Charles Dalmas et le cannois Marcellin Mayère. Inscrit aux monuments historiques depuis le 10 octobre 1984, l’Hôtel de style Belle Epoque est remarquable grâce à sa façade habillée d’un enduit bicolore avec décor moulé en ciment et à ses deux rotondes, directement inspirées, dit-on, des seins de la Belle Otéro.
Idéalement située sur La Croisette, il a vécu au rythme des évènements du monde, côtoyant la petite et la grande histoire. Ce parcours hors norme va être revisité par des artistes peintres locaux, dont Chisa, Henry Marcaillou ou Jeannette Guichard-Bunel.
L’hôtel, en partenariat avec la galerie Neel (Présente à Cannes et à Paris), exposera l’espace d’un an, plusieurs dizaines de leurs toiles. Une Bande Dessinée, signée Nelly Moriquand pour le scénario et Fabien Lacaf pour les dessins, retracera elle aussi la vie du palace. « Il était une fois le Carlton », c’est son titre, ou comment une jeune journaliste va vivre une bien étrange aventure, accompagnée par un fantôme. A-t-elle rêvé, est-ce la réalité ? Le mystère plane…Aucun doute par contre en ce qui concerne le livre et les timbres de collection édités pour l’occasion.
Reste cette galerie éphémère, baptisée Galerie du Centenaire, et qui prendra place dans le couloir du Grand Salon et de la Côte. Là, de larges panneaux vont accueillir quelques-unes des plus belles photographies des personnages emblématiques de l’InterContinental Carlton, comme la Belle Otéro, le Grand Duc Michel, Grace Kelly. La galerie du centenaire exposera un samovar ancien d’exception de la collection de la marque Christofle.
Laurence Jenkell, a sweet artist
Ceux qui ne connaissent pas son nom connaissent ses œuvres. Laurence Jenkell, qui a d’abord travaillé dans l’hôtellerie de luxe, décide un jour de se consacrer à sa passion pour l’art. Son unique modèle, le bonbon. Jusqu’en 2004, elle l’utilise sur la toile. Mais très vite, elle va le sculpter. Le succès est fulgurant. Logique donc qu’elle crée un bonbon spécial centenaire de l’InterContinental Carlton ! En 2011 déjà, elle avait investi Cannes avec 55 œuvres reproduisant les drapeaux des nations présentes au sommet du G20.
Le toucher- Une vague de bien-être
Indispensable dans un hôtel du XXIè siècle, le centre de beauté reste une parenthèse de calme et de sérénité. Parce qu’il tient à fêter le centenaire de l’hôtel de la plus belle des manières, le centre de beauté de l’InterContinental Carlton a créé, pour l’occasion, un package masculin/féminin, au choix.
Haut-lieu du bien-être et du ressourcement, espace dédié au corps et à l’esprit, le centre de beauté de l’InterContinental Carlton offre deux packages pour le centenaire de l’établissement. Le premier consiste en un massage relaxant de 30 minutes, associé à une manucure (30 min également). Le second propose un soin du visage d’une demi-heure et une séance de maquillage (30 min). Une heure de pur bonheur, pour elle comme pour lui (100 €/heure). Le centre de beauté de l’InterContinental Carlton travaille avec deux marques bien distinctes. Les produits Clinica Yvo Pitanguy, du nom de ce célèbre chirurgien esthétique brésilien, et ceux d’Opale, 100% made in Monaco. La gamme, entièrement naturelle (sérum anti-âge, soins yeux et lèvres, soin pour le corps…) a été lancée par les laboratoires Opale, qui ont travaillé en sous-traitance pour Biotherm, Helena Rubinstein, Lancôme…
Les produits de maquillage, quant à eux, sont signés By Terry, la marque professionnelle la plus trendy du moment. Les journalistes beauté n’ont d’ailleurs pas hésité à qualifier Terry de Gunzburg (la maquilleuse du Make-up Artist Studio à l’origine de By Terry, qui a passé 15 ans auprès d’Yves Saint-Laurent) de « surdouée du maquillage » et de « gourou de la couleur ».
Et c’est une équipe de professionnelles, formées aux différentes méthodes de massages et de soins, qui prend en charge chaque client dans un environnement serein, propice à la relaxation et au bien-être.
Un château sur la Croisette
La construction de châteaux de sable, un loisir pour enfants ?
Cette discipline, qui relève de l’art, a ses virtuoses. Eux parlent même de sculptures de sable. C’est l’un d’eux qui va tenter l’exploit de bâtir la façade de l’InterContinental Carlton en sable sur la plage du palace. Un défi que les invités à la grande soirée de lancement apprécieront à sa juste valeur.
L’ouïe- Sur un air de Belle Epoque
La musique adoucit les mœurs, parait-il. Au Carlton, pendant cette année de fête du Centenaire, elle accompagnera le brunch dominical.
Le Grand Salon de l’Hôtel devient un rendez-vous musical. Un dimanche sur deux, à partir du 28 octobre 2012, et à l’heure du brunch dominical, il retentit des airs tout droit sortis de la Belle Epoque. Et c’est au son des violons, contrebasses, pianos et autres instruments que les clients dégustent les mets joliment présentés sur les buffets. L’orchestre chargé de l’accompagnement musical est composé de jeunes musiciens du Conservatoire de musique et de théâtre de Cannes, à rayonnement départemental. Ce haut lieu, en partie dédié à Euterpe, accueille plus de mille élèves, dont certains viennent de Chine.
Amateurs éclairés ou futurs professionnels, ils reçoivent un enseignement de qualité et peuvent, lors de manifestations comme celles-ci, prouver l’étendue de leur talent, naissant ou déjà confirmé. « La musique met l’âme en harmonie avec tout ce qui existe », écrivait Oscar Wilde. A l’InterContinental Carlton, elle accompagne ces instants précieux passés autour d’un brunch.
Péché de gourmandises…
D’octobre à mars, tous les dimanches, à partir de 12h, dans le magnifique salon classé du prestigieux hôtel, le brunch tradition est l’occasion de profiter d’un buffet savoureux, qui témoigne des dons du talentueux chef des cuisines, Laurent Bunel.
Le goût-Séduction de palais
Le goût, ce sens qui peut, en un instant, nous faire voyager dans le temps et l’espace. Source de plaisir, il nous transporte, comme par magie. Son centenaire, l’InterContinental Carlton va le fêter à travers douze plats d’époque.
Petit tour en cuisine.
Elle suit les modes, quand elle ne les précède pas. La cuisine est un miroir qui nous renvoie notre image de gourmand, de gourmet, d’épicurien. Elle reste synonyme d’art de vivre et devient le témoin d’une époque. Que mangeait-on dans la France de l’après-guerre ? Comment les Années Folles ont-elles influencé les assiettes ?
Côté gastronomie, l’InterContinental Carlton fêtera dignement son centenaire en revisitant des plats d’époque. Douze au total.
Seront inscrits au menu la cocotte de homard « Belle Otéro », les nouillettes Carlton, le luté de noix de Saint-Jacques au citron de Menton, le Parmentier de canard, le filet de bœuf Wellington, le vol au vent bourgeoise, le pithiviers de perdreaux Mikhailovitch, le filet de bœuf flambé au cognac et au poivre rare, pommes soufflées, la croûte de volaille « Belle Epoque » sauce suprême, le loup en croûte de sel, crème au caviar, le faisan Souvarov et le dos de turbot poché sauce hollandaise. Chaque plat, ou presque, est porteur d’une histoire ou d’une anecdote. A l’instar du filet de bœuf Wellington qui doit son nom au duc éponyme, grand amateur de bœuf, de champignons, de truffes et de vin de Madère.
Ce n’est un secret pour personne, le Grand Duc Michel adorait les citrons. Le Chef pâtissier de l’InterContinental Carlton lui rend un hommage empreint de douceur en réalisant une tarte au citron revisitée.( photos sur table)
Cocktail « Century »…
De la vodka au citron de Menton, ce cocktail du Centenaire nous fait revivre le voyage du Grand Duc, rappelant ainsi sa terre natale et son goût pour les citrons du sud Méditerranéen.
Une élégance gustative depuis un siècle qui ravira votre palais.
CANNES, un village d’affaires
De par son passé aristocratique et son histoire d’amour fusionnelle avec le cinéma, Cannes incarne un esprit unique. Son aura conquiert aujourd’hui le monde économique.
En jetant son dévolu au XIXè siècle sur ce modeste village de pêcheurs en bordure des plages de Méditerranée, Lord Henry Brougham n’imaginait sans doute pas que l’esprit unique qu’il y instaurait perdurerait près de 180 ans plus tard. Car si l’ancien grand Chancelier d’Angleterre a fait de Cannes « la » destination de l’aristocratie européenne de son temps- les somptueuses résidences d’hiver en témoignent encore la cité reine de la Côte d’Azur a depuis poursuivi son histoire en restant fidèle au luxe et au raffinement des origines.
Loin du tapis rouge où s’affichent chaque année les stars du cinéma américain, la 3è ville des Alpes-Maritimes est classée 2è pour les villes de congrès en France, 1ère pour le Business to Business et plus de 55 rendez-vous professionnels s’y sont déjà déroulés en 2012 sur ses 40 000 m2 de surfaces d’expositions. Une réussite qu’elle doit avant tout à un Palais des Festivals et des Congrès parmi les plus performants d’Europe, vaisseau-amiral de sa stratégie gagnante, et à sa proximité avec l’aéroport international Nice Côte d’Azur où transitent 10 millions de passagers par an.
Si le Festival du film attire environ 120 000 participants, le MIDEM 9 000, le TAX FREE 15 000, le MIPTV 12 000, le MIPCOM 12 000 et le MIPIM 16 000, les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration et des commerces de luxe sont aux premières loges. Au cœur de la Côte d’Azur, Cannes offre plus de 7 500 chambres dont près de 3 000 en 4 et 5 étoiles, un potentiel d’accueil toujours croissant.
Un marché dynamique !
En 2011, l’activité tourisme d’affaires du Palais des Festivals a généré 837 millions d’€ de retombées économiques !
La capitale du 7è art.
Le monde du cinéma a deux capitales : Hollywood et Cannes. La première abrite la toute puissante industrie américaine. La seconde accueille la plus grande manifestation au monde dédiée au 7è art : le Festival de Cannes.
Un événement planétaire qui réunit sur une douzaine de jours un total de 4 500 journalistes, représentant 1 000 supports de presse écrite, 300 télés, 200 agences de presse, 150 radios ! En 65 ans, le Festival le plus médiatisé de la planète n’a cessé de se développer jusqu’à regrouper plusieurs événements en un seul.
Outre la sélection officielle, il y a la Semaine Internationale de la Critique, lancée en 1962, qui donne à voir les premiers films des jeunes cinéastes du monde entier, et la Quinzaine des Réalisateurs, organisée depuis 1969 par la Société des Réalisateurs de Film pour mettre en lumière des cinéastes talentueux, mais encore méconnus. Un travail de découvreurs que fait aussi la sélection « Un certain regard », initiée en 1978.
Mais la manifestation la plus dynamique est aussi la plus discrète : le Marché du Film. Ce salon professionnel a été créé en 1959 pour faciliter la rencontre entre producteurs et distributeurs de film. Aujourd’hui, cette bourse aux longs métrages pèse 20% du chiffre d’affaires de l’industrie mondiale du cinéma. Plus de 10 000 personnes s’y croisent pour boucler un budget, choisir un lieu de tournage, négocier des droits de diffusion.
Le 7è art sous les étoiles.
Haut lieu de villégiature des stars et des tournages de films, le palace légendaire se classe parmi les plus prisés de la planète.
Sur la promenade de la Croisette, l’hôtel InterContinental Carlton incarne majestueusement la rencontre du luxe et du 7è art. Repère privilégié des plus grandes stars grâce au Festival de Cannes, il fait office d’incontournable dans le paysage méditerranéen. Son architecture grandiose, ses 304 chambres et 39 suites le classent dans le rang des hôtels les plus réputés du monde. De nombreux tournages de films y ont été réalisés depuis sa création en 1912, tels que « To catch a thief » d’Alfred Hitchcock, « A star for two » de Jim Kaufman, « La Bonne Année » de Claude Lelouch, « Grosse Fatigue » de Michel Blanc, « French Kiss » de Lawrence Kasdan, ou encore plus récemment « Anthony Zimmer » de Jérôme Salle ou encore « Quatre Etoiles » de Christian Vincent.
De Grace Kelly à Madonna, d’Anthony Quinn à Sean Penn, les célébrités les plus éminentes y ont séjourné ou donné la réplique. Aujourd’hui, l’InterContinental Carlton, à la façade classée monument historique, occupe une place de choix dans le milieu du cinéma et accueille également des familles royales et présidentielles.
Au 7è étage, l’InterContinental Carlton a tenu à rendre un hommage particulier à Grace Kelly qui a su marquer les lieux, notamment durant le tournage du film « La Main au Collet ».
C’est son fils, son Altesse Sérénissime Albert II de Monaco en personne qui inaugura la suite 750 portant le nom de cette égérie incarnant à merveille l’élégance.
ILTM Travel Exhibitions
International Luxury Travel Market (ILTM) est un portefeuille d’événements de voyage de luxe, présentant une collection internationale de produits de voyage de luxe à un public d’acheteurs triés sur le volet de haut niveau en provenance de régions à travers le monde.
Nos événements sont sur invitation seulement et fonctionnent sur une base de un-à-un afin que votre expérience soit personnelle et significative.
Texte : Régina Seigle
Photos/Audio : © Gérald Vaysse (cliquer sur les photos)
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