LES PYROCONCERTS
La musique en habits de lumière
L’autre façon de voir la musique avec :
François-René Duchâble, pianiste
André Manoukian et son quartet, musicien jazz
L’orchestre symphonique «L’Ensemble Parisien», orchestre
Claude Brasseur, comédien
Carine Bonnefois, pianiste
André Charlier, percussionniste
Jean-Jacques Milteau, diatonicien
Palata Singers, chanteurs
Pompiers de Paris, gymnastes
Jean-Eric Ougier, pyrotechnicien
Plusieurs dates en France :
30 juin 2011 : Paris
Parc Javel André Citroën
25 juin 2011 : Aix-les-Bains
21 juillet 2011 : Aix-les-Bains
4 août 2011 : Aix-les-Bains Théâtre de Verdure d’Aix-les-Bains
24 août 2011 : Talloires
26 août 2011 : Talloires
Baie de Talloires
LES PYROCONCERTS
La musique en habits de lumière
Depuis la nuit des temps, le feu et la musique accompagnent étroitement l’Homme dans son évolution, lequel n’a jamais cessé d’utiliser ces éléments pour se construire, se défendre, s’apparenter, s’identifier ou se diversifier.
Le spectacle de la flamme ou l’écoute d’une musique réveille donc en lui des émotions primaires, souvent inconscientes, qui l’entraîne au cœur de mondes imaginaires où les couleurs, les formes et les sons se succèdent et se mêlent les uns aux autres sans cohérence apparente.
Les sens et les sentiments s’en trouvent alors exaltés, et l’esprit, ainsi libéré des contraintes quotidiennes, peut s’échapper à loisir et se laisser dériver.
C’est cette expérience que proposent LES PYROCONCERTS en réunissant, dans un splendide décor en plein air, la musique et le feu.
Un moment d’exception où le musicien et l’artificier travaillent de concert pour atteindre le « beau », l’esthétique qui émeut.
Ici le feu n’est plus le pilier de la manifestation, comme c’est le cas pour les fêtes nationales, mais devient l’un des acteurs principaux du spectacle.
L’artiste pyrotechnicien accompagne en lumière les notes du musicien, sculpte l’espace de manière silencieuse, peint la musique, et propose à travers un land art, un univers très particulier.
Le feu et la musique ne sont plus figuratifs ni représentatifs d’une image particulière, ils ne font que suggérer sans plus rien imposer.
L’esprit et l’imaginaire entrent alors en action, sans limites, et de spectateur passif, chacun devient architecte et compositeur d’une mise en scène personnelle, interprétant au gré de ses fantaisies et de sa connaissance le spectacle qui lui est présenté.
Ainsi, s’il arrive parfois que le musicien, le peintre ou le sculpteur se heurtent à l’incompréhension ou à l’indifférence, les pyroconcerts, grâce au feu d’artifice, remportent l’enthousiaste adhésion du public.
Un succès qui tient aussi à la raison d’être du feu et de la musique : la popularité de ces deux arts et le plaisir immédiat que l’on en retire, provoqué par des impressions sensitives multiples et une très grande facilité d’accès.
Jean-Eric Ougier, concepteur et metteur en scène des Pyroconcerts
Les pyroconcerts, vus par le metteur en scène
LES PYROCONCERTS
La musique en habits de lumière
Une autre façon d’écouter et voir la musique
Et parce que l’émotion est indissociable de la beauté, les Pyroconcerts ont toujours lieu dans de magnifiques sites en plein air.
Cette année encore, ils investissent l’architecture à la fois moderne et épurée du Parc Javel André Citroën, le Théâtre de Verdure d’Aix-les-bains et la Baie de Talloires.
Créés dans l’idée que la musique pouvait s’allier à d’autres arts pour mieux s’exprimer et faire rêver, les Pyroconcerts placent cette dernière au cœur d’un univers onirique où la poésie et la lumière viennent habiller la mélodie.
Un spectacle complet et pluridisciplinaire qui réunit de multiples sensations pour une plus grande impression.
LES PYROCONCERTS
La musique en habits de lumière
Les débuts des Pyroconcerts
Une manifestation conçue à l’origine pour la ville de Talloires en Haute-Savoie et qui, après plus de soixante concerts et autant de succès, se présente aujourd’hui sur la scène nationale.
Les artistes venus se produire sur la scène des Pyroconcerts
François-René Duchâble, Brigitte Engerer, Jean-Claude Brialy, Thomas Dutronc, Richard Galliano,
Stephane Freiss, Marie-Christine Barrault, Liz Mc Comb, Pascal Amoyel, Emmanuelle Bertrand, Jean-Paul Fouchécourt, Julien Lestel…
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La musique en habits de lumière
« Liszt est davantage qu’un grand musicien, quand bien même celui-ci resterait-il encore à mieux connaître, dissimulé derrière les images fallacieuses ou réductrices que l’on a souvent de lui. C’est un serviteur du beau et des autres comme sans doute aucun artiste, avant et après lui.
Car le spectacle et le spirituel ne sont pas antinomiques chez Liszt ; c’est lui qui nous a appris que briller et donner peuvent nourrir une même quête ; que les salons et les temples peuvent ouvrir les mêmes chemins ; que séduire est une voie féconde quand on sait qu’il existe une visée plus haute qui relie. Là il n’est plus de moyens, seuls des fins qui rassemblent.
Ainsi, le but de cette année, au delà même de la célébration du génie si divers et foisonnant de Liszt, est de rendre hommage à l’humaniste incomparable qu’il fut et aux valeurs qui furent les siennes – elles peuvent sans aucun doute toujours nous guider aujourd’hui. »
Jean-Yves Clément, Franz Liszt (Actes Sud)
30 juin : Hommage à Liszt hongrois au parc Javel André Citroën en partenariat avec l’Année Franz Liszt en France et son Commissaire général, Jean-Yves Clément.
Une manifestation qui s’inscrit dans le cadre de l’Année Liszt organisée par l’Institut français, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication, et du ministère des Affaires étrangères.
Un site extraordinaire à ciel ouvert
Résolument contemporain, le parc Javel André Citroën, peu connu encore des parisiens, bénéficie d’une architecture tantôt classique, tantôt romantique, baroque, qui permet une multitude d’effets visuels.
Un site à découvrir absolument à la lumière des pyroconcerts!
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La musique en habits de lumière
La musique
François-René Duchâble et l’orchestre symphonique
«L’Ensemble Parisien» dirigé par Alexis Roy interprèteront les œuvres suivantes :
• La Rhapsodie hongroise n°2
• Ungarischer Sturmarch
• Les Préludes
• La Fantaisie Hongroise pour piano et orchestre
• Le Concerto n°1 pour piano et orchestre
• La Rhapsodie hongroise n°6
• La Campanella
• Les Feux follets
Programmation
Le Land Art en lumières
Installations lumineuses fugaces, illuminations silencieuses, palpitations scintillantes…autant de traits de peinture éphémère qui viendront éclairer l’espace et donner une autre dimension à la musique.
Ici le feu n’est pas bruyant, il accompagne la mélodie, la voix, il donne corps au spectacle et sublime le décor naturel du parc Javel André Citroën.
La poésie
Laissez-vous emporter par la voix de Claude Brasseur autant que par la magie des mots de Liszt. Un voyage en poésie qui vient donner une respiration à la musique et un contexte dans lequel elle a été composée. A travers la voix de l’acteur, c’est tout Liszt qui renaît.
«Je confesse ma passion chauvine pour Paris», Franz Liszt.
Quelques mots écrits de la main du plus européen des musiciens sur ce Paris romantique qu’il affectionnait tant.
Quelques mots comme le prélude d’un spectacle où musique et écrits entraînent le spectateur au cœur d’un univers empreint de poésie et de magie. Le temps d’une soirée, les arts s’allient pour faire revivre le célèbre compositeur et les valeurs universelles et humanistes qui lui étaient chères.
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La musique en habits de lumière
En pratique
Les horaires
Spectacle à 22 heures.
Durée : 1h40 environ.
Places et tarifs
5000 places, de 19 à 59 euros.
Billets disponibles auprès de la Fnac et France Billets
Réservations :
0892-68-36-22 (0.34 euros TTC/min)
magasins Fnac – carrefour – Géant
www.fnac.com et points de vente habituels
Accès
Adresse: Parc Javel André Citroën
Rue Leblanc, 75015 Paris.
RER: Javel-André Citroën ou Boulevard Victor
Métro: Javel-André Citroën ou Lourmel
Tramway: Pont du Garigliano
Pour plus d’informations:
La musique en habits de lumière
Les autres dates en France
Jazz folk avec André Manoukian et son quartet
Le 25 juin à Aix-les-Bains, Savoie.
Le 24 août à Talloires, Haute-Savoie.
Un pyroconcert exceptionnel pour les feux de la Saint-Jean !
Au programme : André Manoukian et son quartet, mis en feux et lumières par Jean-Eric Ougier.
Sur des rythmes jazz, folks et orientaux, André Manoukian et Jean-Eric Ougier jouent avec le feu et la musique, et invitent le public au cœur d’un univers féerique et sans limite. Un moment d’exception où les flammes, l’artifice et la mélodie, se mélangent et s’assemblent, créant ainsi un concert à mille voix, mille couleurs, mille émotions.
Le pyroconcert de la Saint-Jean, un fabuleux spectacle en plein air, qui par l’alliance inédite de la musique et de la lumière, célèbre dignement et en festivités la journée la plus belle de l’été !
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La musique en habits de lumière
Rythmique avec le Brass Band et les gymnastes des Pompiers de Paris.
21 juillet au Théâtre de verdure d’Aix-les-Bains, Savoie.
Un pyroconcert placé sous le signe des sensations fortes !
Un spectacle exceptionnel et inédit où la musique accueillera pour une fois des acteurs aux prouesses spectaculaires. Ce sont les gymnastes des pompiers de Paris, célèbres partout en France qui pendant près de deux heures, enchaîneront sur des rythmes et notes endiablées, des figures, des performances et des chorégraphies techniques et sportives.
Ils sont accompagne par une pianiste jazz au tempérament de feu, Carine Bonnefoi et d’André Charlier son complice percussionniste. Leur virtuosité dans les improvisations accompagne à merveilles les performances humaines et pyrotechniques
Un spectacle musical assurément familial qui entraînera petits et grands dans une fête merveilleuse où mélodies, feux d’artifices et acrobaties, invitent chacun à entrer dans le rêve.
Ce pyroconcert, qui réunit plus de 40 personnes sur scène, est tout simplement une invitation à la fête, un bouquet final de réjouissances, de lumières et de danse.
Un événement à ne surtout pas manquer !
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La musique en habits de lumière Gospel , jazz et blues en habits de feu et de lumieres !
4 août au Théâtre de verdure d’Aix-les-Bains, Savoie.
Un spectacle ou le ciel et la terre se réunissent et ou le temps suspend son vol.
Jazz, gospel africain et blues sont magnifiquement servis par Jean Jacques Milteau (harmonica) et les voix profondes des Palata Singers accompagnés de leurs musiciens.
Tous ensemble et avec la complicité de Jean-Eric Ougier, ils construisent un monde éphémère, musical et visuel, peuplé d’toile incandescentes !
Un spectacle émouvant ou la ferveur de la musique et la lumière du feu invitent au merveilleux et au mystère.
Un spectacle tout public ! Ou la musique se regarde et se consomme simplement, avec plaisir et sans modération.
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La musique en habits de lumière
Liszt O’ Tzigane!
Le 26 août à Talloires, Haute-Savoie.
Quand les mains virtuoses de Laurent Korcia (violon), Boban Bjelic (accordéon), et François-René
Duchâble (piano) nous invitent à découvrir la musique de Franz Liszt dont nous célébrons cette année le deux-centième anniversaire, ce sont toutes les musiques de l’Europe centrale qui s’invitent à la fête !
Dans la baie magique de Talloires, l’eau ne reflète plus alors que les accents de la musique tzigane et les feux tournoient au cœur d’un espace scénique entièrement revisité.
Danses roumaines, hongroises, valses et rapsodies alternent dans un tourbillon de notes endiablées qui invitent le spectateur à entrer dans la danse aux côtés des artistes.
Un spectacle magique, rythmé et familial qui réjouira les amateurs d’émotions joyeuses !
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La musique en habits de lumière
François-René Duchâble
Pianiste
Virtuose du clavier, vagabond dans l’âme, ce pianiste de renommée internationale encouragé en 1973 par Arthur Rubenstein à se lancer dans une carrière de soliste, s’est délivré des parcours obligés.
Trente années de concerts dans les temples de la musique lui ont valu la reconnaissance du public, celle de prestigieux chefs d’orchestre comme Karajan, Herreweghe, Sawallisch, Svetlanov, Janowski, Plasson, Dutoit, Casadessus, Lombard, Gardiner… et de nombreuses distinctions musicales pour les « Vingt-quatre Etudes» de Chopin, les « Douze Etudes Transcendantes» de Liszt, les Sonates de Beethoven, les concertos de Ravel,sans oublier la parution du DVD consacré aux cinq concertos de Beethoven qui lui valut à nouveau Les Victoires de la musique en 2004.
Aujourd’hui, le besoin capital de vivre libre lui offre de nouvelles perspectives en considérant davantage la musique comme un plaisir à partager. Le choix de ses partenaires, son goût irrésistible pour le plein air et son penchant pour l’insolite, l’amènent à jouer dans des lieux souvent inattendus où la musique s’intègre à l’environnement d’un glacier, d’une grotte, d’un lac ou d’une place de village…
Pour combler son imaginaire, il aime s’entourer de la magie des feux d’artifice ( de Jean-Eric Ougier), savourer sur scène la complicité d’acrobates, de jongleurs ou de sportifs d’un jour, désireux d’offrir à un public de tous horizons un spectacle de musique plutôt qu’un concert.
C’est ainsi qu’il forme avec Alain Carré, comédien, un duo incontournable : 50 créations au répertoire:
« Rimbaud, Voleur de feu» -« Histoire de ma vie » H. Berlioz – «Le Roman de Venise» Sand, Musset,.Chopin – «l’Apocalypse selon St Jean» – « La Nuit Obscure» – «Voyage dans la Lune» -«Les Lettres de Mon Moulin» d’A.Daudet- « paroles et Musique » J.Prévert – «Ego Hugo», sur autant de musiques de Jean-Sébastien Bach à Maurice Ravel en passant par les grands compositeurs de l’âme romantique.
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La musique en habits de lumière
Laurent Korcia
Violoniste
Son jeu est d’une liberté, d’une présence, d’une imagination que l’on ne connaît qu’à de rares violonistes d’aujourd’hui … et du passé. Korcia a tout : le grand style, la technique, la présence, les idées, le charme. (Le Monde)
Ses disques consacrés à Ysaÿe et à Bartok nous l’ont bien fait comprendre : Laurent Korcia est un violoniste hors du commun. L’un de ceux dont le feu sacré et l’instinct vous saisissent dès les premières mesures. Tels ces virtuoses du début du siècle, les Elman, Heifetz, Ysaÿe ou Kubelik dont le style, la sonorité, et le vibrato étaient une véritable signature, Korcia est de ceux que l’on identifie à coup sûr. En cela, il se démarque de tous ses contemporains. (Diapason)
Parrainé dès son plus jeune âge par Pierre Barbizet et formé au conservatoire national supérieur de musique de Paris par Michèle Auclair, elle-même disciple de Jacques Thibaud et George Enesco, Laurent Korcia est l’un des violonistes les plus reconnus de sa génération.
Soliste de l’année aux Victoires de la Musique et Chevalier des Arts et Lettres, on lui décerne le prix Georges Enesco de la SACEM ainsi que le Grand Prix de l’Académie du disque Charles Cros.
Laurent Korcia est invité à jouer en soliste sous la direction des plus grands chefs – Yuri Ahronovitch, Philippe Bender, Semyon Bychkov, Jean-Claude Casadesus, Charles Dutoit, Daniele Gatti, Valéry Gergiev, Emmanuel Krivine, Kurt Masur, John Nelson, Michel Plasson, Manuel Rosenthal, Yutaka Sado, Tugan Sokhiev, Vladimir Spivakov, Yan-Pascal Tortelier, Heinz Wallberg, Walter Weller, …
Il est l’un des rares violonistes à donner des récitals de violon seul aux programmes allant de Bach aux compositeurs d’aujourd’hui, ainsi que l’intégrale des Sonates d’Ysaÿe auxquelles il consacre son premier disque.
Depuis son enregistrement des Sonates d’Ysaye jusqu’à BartoKorcia (Concerto n°2 avec le CBSO et Sakari Oramo, sonate pour violon seul, Contrastes, sonate n°1), reconnus comme des enregistrements de référence, Laurent Korcia propose par ailleurs des disques qui rencontrent un large public (Danses, Doubles Jeux avec Michel Portal, Jean-Efflam Bavouzet, Tatjana Vassilieva, Michael Wendeberg… ainsi que le Stabat Mater de Bruno Coulais avec Guillaume Depardieu).
Après avoir enregistré pour Sony BMG et Naïve, son dernier album est dédie au Cinema.
LAURENT KORCIA joue actuellement sur le Zahn, Stradivarius de 1719 qui lui est prêté par le groupe LVMH -Louis Vuitton-Moët-Hennessy.
Crédits photo: Andres Reynaga
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La musique en habits de lumière Orchestre symphonique «L’Ensemble Parisien»
Fondé en Septembre 2007 par son chef, Alexis Roy, cette formation symphonique a été, dès le début de sa seconde saison, présentée par Philippe Thanh, rédacteur en chef de La Lettre du Musicien, comme « un jeune ensemble à suivre.« D’un enthousiasme communicatif, L’Ensemble Parisien est orienté vers la musique française et le répertoire romantique, et invite de nombreux jeunes solistes, sans négliger la création contemporaine comme en témoignent les nombreuses commandes qu’il a effectuées en trois ans.
Qu’il s’agisse de jouer dans une église à Paris, dans le cadre de la saison musicale de Bourges ou de Clamecy, au festival de Talloires avec François-René Duchable, pour le gala de clôture du Sidaction à l’Unesco, pour «Jeunes Talents» aux Archives Nationales, pour l’enregistrement d’une musique de film ou d’un disque, L’Ensemble Parisien et son chef transmettent à leur public un enthousiasme musical doublé d’un soucis de l’interprétation qui sont la marque appréciée de leur formation.
Formé à la direction d’orchestre auprès de Jean-Sébastien Béreau et Jean-Jacques Werner à la Schola Cantorum de Paris, Alexis Roy a collaboré étroitement avec l’orchestre de Paris-Sorbonne comme répétiteur et comme chef d’orchestre, avant de fonder L’Ensemble Parisien en septembre 2007.
Invité à se produire avec l’orchestre RSO au « Festival de l’Oh! » en juin 2010, directeur musical de L’Histoire du Soldat de Stravinsky, dans une mise en scène à l’espace culturel du Parc (Drancy), en mars 2010, Alexis Roy sera amené, entre autres, à diriger L’Ensemble Parisien à Angers pour un Requiem de Mozart et un concert Lizt à Talloires avec François-René Duchâble, et retrouvera avec plaisir le RSO pour qui il dirigera La Petite Symphonie de Gounod.
Alexis Roy est depuis septembre 2011 Chef Associé de l’orchestre symphonique Léon Barzin.
Alexis Roy
Chef d’orchestre
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La musique en habits de lumière
Jean-Eric Ougier a créé la société Fêtes et Feux en 1981, réunissant ainsi ses passions pour la musique, le spectacle et plus particulièrement le feu d’artifice.
En trois décennies, il s’est entouré de collaborateurs créatifs et indépendants, avec qui il a pu concevoir des spectacles étonnants et novateurs autour et avec de la pyrotechnie.
Sur le plan national :
Annecy : La fête du Lac : 5 éditions
Paris, 14 juillet : 3 éditions
Carcassonne, 14 juillet et 31 decembre ( 3 editions)
Château de Versailles : Fêtes de Nuit, Grandes Eaux Musicales
Nocturnes, Opéra Royal : 7 ans
Nuits de feux de Chantilly , dir. artistique jusqu’en 2008
Mais aussi de nombreux grands spectacles pour le compte d’entreprises privées (parc Disneyland Paris, Futuroscope, Parc Astérix, Stade de France, Rolex, Van Cleef, Euro ESCG, Auditoire, etc.)
Jean Eric Ougier produit par ailleurs des spectacles complets comme les Pyroconcerts de Talloires, les Aquascénies d’Aix-les-Bains ou encore «Il était une Foix l’Ariège».
Fort de cette expérience et soucieux de renouveler le genre en matière de pyrotechnie, il assure avec la société Fêtes et Feux la production exécutive et la direction artistique d’un nouvel événement qui connaîtra cette année sa troisième édition : Le Grand feu du Domaine National de Saint Cloud.
Issu de la conviction que le feu d’artifice est un art à part entière, et non pas uniquement un divertissement réservé au 14 juillet, Jean-Eric Ougier réussit à composer un spectacle de plus d’une heure et demie, uniquement en pyrotechnie.
Destinées à 25 000 spectateurs, entrées payantes, les deux premières éditions, fortement relayées par les medias et les télévisions nationales, ont rencontré le succès escompté. La troisième édition est d’ores et déjà programmée pour le 10 septembre prochain!
Jean-Eric Ougier
Directeur artistique
LES PYROCONCERTS
La musique en habits de lumière
Si l’aspect spectaculaire de la pyrotechnique reste dominant, Jean-Eric Ougier poursuit et cherche une démarche artistique encore différente, dans le but de mettre en valeur toutes les facultés de cet art ancestral : il souhaite développer les installations fugaces, limitées dans le temps, ainsi que le land art pyrotechnique.
«L’artifice est une matière très intéressante car elle est vivante !»
C’est une peinture qui émet de la lumière, une matière dont les volumes évoluent au fur et à mesure de son existence fugace. Son occupation de l’espace s’apparente à une forme architecturale, pouvant être présentée seule ou à travers un site existant.
Les champs du possible s’étendent ainsi du très grand spectacle chorégraphique à l’exposition éphémère, où chaque spectateur, à partir de sa mémoire et de son propre regard, pourra construire sa propre visite et sa propre interpretation.
Dans cette optique, Jean-Eric Ougier souhaite aujourd’hui collaborer avec d’autres passionnés du feu et de la lumière, mais aussi des fabricants, afin de créer de nouvelles pièces spécifiques à ce type d’installations.
Enfin, il souhaite travailler sur d’autres formes artistiques comme la photographie, avec le concours d’artistes, dans le but d’utiliser cette matière insaisissable et la fixer en tableaux improbables.